5 mars 2009
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Tu t'approches de la salle d'exposition... c'est le noir... tu te dis, bizarre, l'expo doit être fermée...
Mais tu avances, quand même, tu n'es pas venu pour rien...
Et dès que tu franchis l'huis, là-bas, au fond, le mur s'anime et des ombres fantomatiques passent et repassent dans une lumière sourde et blafarde.
Tu pénètres, un peu surpris... et tu découvres les oeuvres de Marie Pierre Gabeur.
Danseuses accrochées, gestes sépia, envolées de pinceaux, figées dans un mouvement désincarné... et le grincement de la machine ritourne dans le fond, ronde lancinante qui fige en mythes mécaniques des danseuses improbables... lueur au lointain...
Et pour les petits curieux, voici la foule en transe... toi? moi? elle? lui? eux? nous?... Mécaniques bien huilées? Et si cela grince un peu, hop, une petite goutte d'huile, la machine se remet en route, faisant faire à ces "mannequins" ce que l'on veut d'eux... Qui donc verrait une similitude avec la vie? Cela n'engage que moi...
Mais tu avances, quand même, tu n'es pas venu pour rien...
Et dès que tu franchis l'huis, là-bas, au fond, le mur s'anime et des ombres fantomatiques passent et repassent dans une lumière sourde et blafarde.
Tu pénètres, un peu surpris... et tu découvres les oeuvres de Marie Pierre Gabeur.
Danseuses accrochées, gestes sépia, envolées de pinceaux, figées dans un mouvement désincarné... et le grincement de la machine ritourne dans le fond, ronde lancinante qui fige en mythes mécaniques des danseuses improbables... lueur au lointain...
Et pour les petits curieux, voici la foule en transe... toi? moi? elle? lui? eux? nous?... Mécaniques bien huilées? Et si cela grince un peu, hop, une petite goutte d'huile, la machine se remet en route, faisant faire à ces "mannequins" ce que l'on veut d'eux... Qui donc verrait une similitude avec la vie? Cela n'engage que moi...