22 novembre 2009
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Allant au martyre, Sainte Cécile aurait, dit-on, entendu une musique céleste. L'argument est bien ténu, toujours est-il que la légende en a fait la patronne des musiciens, des luthiers et autres fabricants d'instruments de musique.
Mais point n'est besoin d'une assise solide pour perpétuer des traditions! Cela permet de se retrouver, entre membres d'une même confrérie, et ainsi de faire la fête. C'est aussi l'occasion de montrer le savoir-faire acquis lors de l'exercice de sa passion... et de reformer, pour une démonstration publique, le groupe de passionnés de fanfare.
Ainsi, la Musique Départementale des Sapeurs Pompiers de la Meuse s'est-elle produite ce dimanche à Fains-Véel. Les morceaux se sont enchaînés au rythme des tambours, des cors et autres trompettes.
Après la prestation sur la place de la Mairie à Fains, les joyeux lurons se sont rendus au pied de l'église Saint Martin du bourg de Véel, dont les citoyens fêtaient ce jour-là le saint patron.
Et le vent frisquet rasant de sa caresse acide les spectateurs refroidis n'a pas empêché l'ardeur des musiciens de faire résonner haut et fort les notes enthousiastes qui s'élevaient en tourbillon des caisses et des cornets cuivrés!
Et, perdu au milieu de ses aînés, le petit poucet, pour lequel la valeur n'attend pas le nombre des années!
Mais point n'est besoin d'une assise solide pour perpétuer des traditions! Cela permet de se retrouver, entre membres d'une même confrérie, et ainsi de faire la fête. C'est aussi l'occasion de montrer le savoir-faire acquis lors de l'exercice de sa passion... et de reformer, pour une démonstration publique, le groupe de passionnés de fanfare.
Ainsi, la Musique Départementale des Sapeurs Pompiers de la Meuse s'est-elle produite ce dimanche à Fains-Véel. Les morceaux se sont enchaînés au rythme des tambours, des cors et autres trompettes.
Après la prestation sur la place de la Mairie à Fains, les joyeux lurons se sont rendus au pied de l'église Saint Martin du bourg de Véel, dont les citoyens fêtaient ce jour-là le saint patron.
Et le vent frisquet rasant de sa caresse acide les spectateurs refroidis n'a pas empêché l'ardeur des musiciens de faire résonner haut et fort les notes enthousiastes qui s'élevaient en tourbillon des caisses et des cornets cuivrés!
Et, perdu au milieu de ses aînés, le petit poucet, pour lequel la valeur n'attend pas le nombre des années!