8 novembre 2009
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18:00
Dans Trémont, creusé et labouré de toutes parts dans la rue Poincaré, il est un lieu, plein de sérénité et de lumière, qui offre un spectacle tout en couleurs et en nuances au regard curieux de celui qui fait l'effort de monter jusqu'à la mairie. Une place entièrement retravaillée, une façade lumineuse, des teintes douces et changeantes...
Puis il faut grimper jusque sur le parvis de l'église, perchée sur la colline. Saint Memmie brille de mille feux, faisant scintiller les vitraux et chanter la vieille pierre, plongeant dans l'oubli les échafaudages disgrâcieux qui plombent pour l'heure la silhouette massive de l'édifice.
Le monument aux morts, domine de son ombre blanche l'allée mordorée, ponctuée des touches blondes et rousses des feuilles d'automne, là où la jeune paysanne veille avec une douleur résignée sur le repos de ceux qui sont tombés.
Puis il faut grimper jusque sur le parvis de l'église, perchée sur la colline. Saint Memmie brille de mille feux, faisant scintiller les vitraux et chanter la vieille pierre, plongeant dans l'oubli les échafaudages disgrâcieux qui plombent pour l'heure la silhouette massive de l'édifice.
Le monument aux morts, domine de son ombre blanche l'allée mordorée, ponctuée des touches blondes et rousses des feuilles d'automne, là où la jeune paysanne veille avec une douleur résignée sur le repos de ceux qui sont tombés.