30 septembre 2008
2
30
/09
/septembre
/2008
09:44
Dans le cadre du 90ème anniversaire des offensives américaines en 1918, une fête aérienne réunissait à l'aéro-club de Condé des personnalités françaises et d'outre atlantique. L'occasion de rendre hommage aux pionniers de l'aviation de l'escadrille française "Les cigognes" et aux volontaires de l'escadrille américaine "La Fayette". Une stèle rappelle désormais la mémoire de ces valeureux pilotes.
Des démonstrations en vol par des avions datant de l'entre-deux-guerres, la présence d'une "célébrité" télévisuelle, Christian Marin, un soleil éclatant... Que demander de plus...
Un regret: l'exposition "Guynemer", réalisée par le SIRPA-AIR, mériterait cependant une présence un peu plus longue dans un lieu accessible à tous. (Mais peut-être est-elle visible en un autre lieu en Meuse....) Je suis en effet un peu restée sur ma faim, n'ayant pas eu le temps de lire tous ces panneaux. Dommage car je pense qu'elle est d'un véritable intérêt, mettant en lumière ce côté inhabituel de la guerre.
Enfin, et c'est un peu en décalage avec l'hommage aux combattants, qu'ils me pardonnent, je ne résiste pas, certains s'en souviennent sûrement... voici Laverdure, en chair et en os, qui réussit à caler sa grande carcasse dans ce vieux coucou...
I
Les chevaliers du ciel
Dans un bruit de tonnerre
A deux pas du soleil
Vont chercher la lumière
Des démonstrations en vol par des avions datant de l'entre-deux-guerres, la présence d'une "célébrité" télévisuelle, Christian Marin, un soleil éclatant... Que demander de plus...
Un regret: l'exposition "Guynemer", réalisée par le SIRPA-AIR, mériterait cependant une présence un peu plus longue dans un lieu accessible à tous. (Mais peut-être est-elle visible en un autre lieu en Meuse....) Je suis en effet un peu restée sur ma faim, n'ayant pas eu le temps de lire tous ces panneaux. Dommage car je pense qu'elle est d'un véritable intérêt, mettant en lumière ce côté inhabituel de la guerre.
Enfin, et c'est un peu en décalage avec l'hommage aux combattants, qu'ils me pardonnent, je ne résiste pas, certains s'en souviennent sûrement... voici Laverdure, en chair et en os, qui réussit à caler sa grande carcasse dans ce vieux coucou...
I
Les chevaliers du ciel
Dans un bruit de tonnerre
A deux pas du soleil
Vont chercher la lumière